Alienum phaedrum torquatos nec eu, vis detraxit periculis ex, nihil expetendis in mei. Mei an pericula euripidis, hinc partem.

Office de tourisme Mont-Lozère : (+33) 04 66 46 87 30

lagardeguerin@gmail.com

 

La ferme Pansier

Cette ancienne demeure seigneuriale date du XVIème siècle.

En 1793, Pierre Pansier, habitant de La Garde-Guérin, était devenu propriétaire de cette maison louée au seigneur de Trouillas, résidant à Villefort, moyennant une rente annuelle en blé, seigle, beurre, fromage, argent. Il devait aussi nourrir deux paires de chapons…

Cette maison était alors la plus grosse ferme du village. Le corps de ferme était composé d’une maison d’habitation avec salles voûtées en rez-de-chaussée, chambres, greniers et saloirs dans les étages. Les animaux étaient répartis dans des étables et des écuries, de part et d’autre de la rue : moutons, vaches, chevaux, boeufs et porcs. Des granges, au-dessus de ces étables ou écuries, permettaient de remiser le fourrage et les céréales nécessaires à leur alimentation.

A la Garde-Guérin, les habitants du village avaient aussi des fermes ou des bergeries, qui leur permirent de vivre longtemps en autarcie.

La châtaigne constituait une base importante de leur alimentation. Ils avaient leur jardin potager ; la viande qu’ils consommaient était celle des animaux qu’ils élevaient. Ils produisaient lait, fromage et beurre, conservaient la viande dans la graisse ou au saloir, cultivaient le blé et le seigle qu’ils récoltaient et apportaient au moulin, pour le pain.

Avant que » la ferme Pansier  » ne soit vendue à la SAFER en 1964, la grande salle était devenue le café et l’épicerie du village. Les habitants venaient y passer la veillée. Elle pouvait même loger des gens, à l’occasion.

Elle fut rachetée et transformée en auberge. Ses propriétaires actuels l’ont joliment restaurée et en ont fait un hôtel labellisé Hôtel de Charme.

Cette ancienne demeure seigneuriale date du XVIème siècle.

En 1793, Pierre Pansier, habitant de La Garde-Guérin, était devenu propriétaire de cette maison louée au seigneur de Trouillas, résidant à Villefort, moyennant une rente annuelle en blé, seigle, beurre, fromage, argent. Il devait aussi nourrir deux paires de chapons…

Cette maison était alors la plus grosse ferme du village. Le corps de ferme était composé d’une maison d’habitation avec salles voûtées en rez-de-chaussée, chambres, greniers et saloirs dans les étages. Les animaux étaient répartis dans des étables et des écuries, de part et d’autre de la rue : moutons, vaches, chevaux, boeufs et porcs. Des granges, au-dessus de ces étables ou écuries, permettaient de remiser le fourrage et les céréales nécessaires à leur alimentation.

A la Garde-Guérin, les habitants du village avaient aussi des fermes ou des bergeries, qui leur permirent de vivre longtemps en autarcie.

La châtaigne constituait une base importante de leur alimentation. Ils avaient leur jardin potager ; la viande qu’ils consommaient était celle des animaux qu’ils élevaient. Ils produisaient lait, fromage et beurre, conservaient la viande dans la graisse ou au saloir, cultivaient le blé et le seigle qu’ils récoltaient et apportaient au moulin, pour le pain.

Avant que » la ferme Pansier  » ne soit vendue à la SAFER en 1964, la grande salle était devenue le café et l’épicerie du village. Les habitants venaient y passer la veillée. Elle pouvait même loger des gens, à l’occasion.

Elle fut rachetée et transformée en auberge. Ses propriétaires actuels l’ont joliment restaurée et en ont fait un hôtel labellisé Hôtel de Charme.