Alienum phaedrum torquatos nec eu, vis detraxit periculis ex, nihil expetendis in mei. Mei an pericula euripidis, hinc partem.

Office de tourisme Mont-Lozère : (+33) 04 66 46 87 30

lagardeguerin@gmail.com

 

Une histoire

La Garde-Guérin, un site classé et restauré

Le Village de la Garde-Guérin surplombe les Gorges du Chassezac qui coule 400 mètres plus bas. Il bénéficie d’une situation exceptionnelle et domine tout le paysage alentour. Il suffit pour s’en convaincre de se rendre sur le prè de la tour ou au belvédère des Gorges du Chassezac pour tout voir à la ronde et sans obstacle. C’est de nos jours le GR700 qu’empruntent de plus en plus de randonneurs.

La fondation

C’est probablement un accord entre l’évêque de Mende et le seigneur Bernard d’Anduze, dont le domaine était traversé par le Chemin de Régordane, qui décida de l’implantation d’un castrum, au coeur de ce plateau de grès, à près de 900 mètres d’altitude.

Ce castrum se trouve au milieu des 24km du Chemin allant de Villefort à la Bastide, qui étaient difficiles, désolés et dangereux. Cette insécurité était due à la présence des « Routiers », mercenaires groupés en compagnies nommées « Les routes », qui avaient une mauvaise réputation de pillards massacreurs et incendiaires et qui sans solde, erraient et vivaient sur le pays.

Guérin est un nom de famille commun aux baronnies de Randon, d’Apcher et du Tournel. C’est sans doute en hommage à un Guérin du Tournel que le village a pris ce nom. Cette famille en effet, se trouvait solidement implantée à Villefort et à La Garde. Ils étaient maîtres du Mont Lozère et d’une partie du Sauveterre. Ils ne tardèrent pas à porter leur attention sur le Chemin de Régordane et à y exercer leur pouvoir.

Les Chevaliers Pariers

Sous l’impulsion des Barons du Tournel, les chevaliers établis à La Garde constituèrent une communauté économique et militaire, dans l’esprit des Ecoles de Chevalerie florissantes en France dès le XIIème siècle. Ils prêtaient hommage à l’évêque de Mende.

Ils s’appelèrent Chevaliers Pariers (du latin Pares : égaux) car ces hommes, égaux en droits, égaux en devoirs, possédaient le village fortifié en co-seigneurie, ainsi que le chemin de Régordane, depuis Villefort jusqu’à La Bastide. C’était la partie la plus difficile, la plus désolée , la plus dangereuse de ce Chemin. Chacun détenait une « parérie », appelée aussi « part » ou « portion » de ce bien commun, dont il assumait les charges et percevait les revenus…

Les Chevaliers Pariers

Sous l’impulsion des Barons du Tournel, les chevaliers établis à La Garde constituèrent une communauté économique et militaire, dans l’esprit des Ecoles de Chevalerie florissantes en France dès le XIIème siècle. Ils prêtaient hommage à l’évêque de Mende.

Ils s’appelèrent Chevaliers Pariers (du latin Pares : égaux) car ces hommes, égaux en droits, égaux en devoirs, possédaient le village fortifié en co-seigneurie, ainsi que le chemin de Régordane, depuis Villefort jusqu’à La Bastide. C’était la partie la plus difficile, la plus désolée , la plus dangereuse de ce Chemin. Chacun détenait une « parérie », appelée aussi « part » ou « portion » de ce bien commun, dont il assumait les charges et percevait les revenus…

Les Chevaliers Pariers devaient assurer le guidage et la protection des voyageurs, des animaux et des marchandises sur la portion du chemin de Régordane qu’ils entretenaient. Ils percevaient en retour des droits de péage et de guidage, un droit de cartelage pour la mesure des grains produits sur leur domaine, et un droit de pulvérage sur les troupeaux de moutons en transhumance, à cause de la poussière qu’ils soulevaient. Chacun d’eux possédait une maison dans le village, avec un puits. Ces maisons ne comportaient pas de mur mitoyen, car chacun voulait rester maître chez soi ! Ainsi, chaque maison était séparée de la maison voisine par un espace large de 30 centimètres environ, que l’on appelle « Douplette  » ou « Pan du Roi »

On peut voir, au-dessus de certaines portes ou de certains porches, un blason sur lequel sont sculptées les lettres PG, pour « Parier de la Garde ».

La Garde-Guérin, un site classé et restauré

Le Village de la Garde-Guérin surplombe les Gorges du Chassezac qui coule 400 mètres plus bas. Il bénéficie d’une situation exceptionnelle et domine tout le paysage alentour. Il suffit pour s’en convaincre de se rendre sur le prè de la tour ou au belvédère des Gorges du Chassezac pour tout voir à la ronde et sans obstacle. C’est de nos jours le GR700 qu’empruntent de plus en plus de randonneurs.

La fondation

C’est probablement un accord entre l’évêque de Mende et le seigneur Bernard d’Anduze, dont le domaine était traversé par le Chemin de Régordane, qui décida de l’implantation d’un castrum, au coeur de ce plateau de grès, à près de 900 mètres d’altitude.

Ce castrum se trouve au milieu des 24km du Chemin allant de Villefort à la Bastide, qui étaient difficiles, désolés et dangereux. Cette insécurité était due à la présence des « Routiers », mercenaires groupés en compagnies nommées « Les routes », qui avaient une mauvaise réputation de pillards massacreurs et incendiaires et qui sans solde, erraient et vivaient sur le pays.

Guérin est un nom de famille commun aux baronnies de Randon, d’Apcher et du Tournel. C’est sans doute en hommage à un Guérin du Tournel que le village a pris ce nom. Cette famille en effet, se trouvait solidement implantée à Villefort et à La Garde. Ils étaient maîtres du Mont Lozère et d’une partie du Sauveterre. Ils ne tardèrent pas à porter leur attention sur le Chemin de Régordane et à y exercer leur pouvoir.

Les Chevaliers Pariers

Sous l’impulsion des Barons du Tournel, les chevaliers établis à La Garde constituèrent une communauté économique et militaire, dans l’esprit des Ecoles de Chevalerie florissantes en France dès le XIIème siècle. Ils prêtaient hommage à l’évêque de Mende.

Ils s’appelèrent Chevaliers Pariers (du latin Pares : égaux) car ces hommes, égaux en droits, égaux en devoirs, possédaient le village fortifié en co-seigneurie, ainsi que le chemin de Régordane, depuis Villefort jusqu’à La Bastide. C’était la partie la plus difficile, la plus désolée , la plus dangereuse de ce Chemin. Chacun détenait une « parérie », appelée aussi « part » ou « portion » de ce bien commun, dont il assumait les charges et percevait les revenus…

Les Chevaliers Pariers

Sous l’impulsion des Barons du Tournel, les chevaliers établis à La Garde constituèrent une communauté économique et militaire, dans l’esprit des Ecoles de Chevalerie florissantes en France dès le XIIème siècle. Ils prêtaient hommage à l’évêque de Mende.

Les Chevaliers Pariers

Sous l’impulsion des Barons du Tournel, les chevaliers établis à La Garde constituèrent une communauté économique et militaire, dans l’esprit des Ecoles de Chevalerie florissantes en France dès le XIIème siècle. Ils prêtaient hommage à l’évêque de Mende.

Ils s’appelèrent Chevaliers Pariers (du latin Pares : égaux) car ces hommes, égaux en droits, égaux en devoirs, possédaient le village fortifié en co-seigneurie, ainsi que le chemin de Régordane, depuis Villefort jusqu’à La Bastide. C’était la partie la plus difficile, la plus désolée , la plus dangereuse de ce Chemin. Chacun détenait une « parérie », appelée aussi « part » ou « portion » de ce bien commun, dont il assumait les charges et percevait les revenus…

Les Chevaliers Pariers devaient assurer le guidage et la protection des voyageurs, des animaux et des marchandises sur la portion du chemin de Régordane qu’ils entretenaient. Ils percevaient en retour des droits de péage et de guidage, un droit de cartelage pour la mesure des grains produits sur leur domaine, et un droit de pulvérage sur les troupeaux de moutons en transhumance, à cause de la poussière qu’ils soulevaient. Chacun d’eux possédait une maison dans le village, avec un puits. Ces maisons ne comportaient pas de mur mitoyen, car chacun voulait rester maître chez soi ! Ainsi, chaque maison était séparée de la maison voisine par un espace large de 30 centimètres environ, que l’on appelle « Douplette  » ou « Pan du Roi »

On peut voir, au-dessus de certaines portes ou de certains porches, un blason sur lequel sont sculptées les lettres PG, pour « Parier de la Garde ».