Le château, terme qui désigne actuellement la terrasse au pied de la Tour et les ruines du logis des Molette de Morangiés, n’existait pas au Moyen-Age.
L’existence d’un véritable château comme résidence seigneuriale n’a été possible que lorsqu’en 1569, probablement, les Molette de Morangiès eurent réuni en leur possession toutes les « paréries », mettant fin au régime de coseigneurie qui avait prévalu jusque là. Ils firent construire un vaste logis en équerre, dans la partie ouest de ce que nous appelons le Pré de la Tour.
La façade ouest à deux étages devait être surmontée d’un étage sous combles. On voit encore la base de deux tours, au nord et au sud de cette façade et les vestiges éboulés du sous-sol de l’aile nord. Sous le rez-de-chaussée du château, des salles voûtées, d’appareil plus ancien, devaient servir de magasins, de caves, de réserves ou même de cachots…
A quelques mètres de la tour, on peut voir un four à pain et un puits de 12 mètres de profondeur, creusé dans le roc…
Ce logis bordait une cour intérieure, qu’un mur percé d’un portail devait fermer. Ce château fut détruit par un incendie en 1722, puis laissé à l’abandon. Seuls des pans de murs ont résisté au temps et à l’incendie.
Le château, terme qui désigne actuellement la terrasse au pied de la Tour et les ruines du logis des Molette de Morangiés, n’existait pas au Moyen-Age.
L’existence d’un véritable château comme résidence seigneuriale n’a été possible que lorsqu’en 1569, probablement, les Molette de Morangiès eurent réuni en leur possession toutes les « paréries », mettant fin au régime de coseigneurie qui avait prévalu jusque là. Ils firent construire un vaste logis en équerre, dans la partie ouest de ce que nous appelons le Pré de la Tour.
La façade ouest à deux étages devait être surmontée d’un étage sous combles. On voit encore la base de deux tours, au nord et au sud de cette façade et les vestiges éboulés du sous-sol de l’aile nord. Sous le rez-de-chaussée du château, des salles voûtées, d’appareil plus ancien, devaient servir de magasins, de caves, de réserves ou même de cachots…
A quelques mètres de la tour, on peut voir un four à pain et un puits de 12 mètres de profondeur, creusé dans le roc…
Ce logis bordait une cour intérieure, qu’un mur percé d’un portail devait fermer. Ce château fut détruit par un incendie en 1722, puis laissé à l’abandon. Seuls des pans de murs ont résisté au temps et à l’incendie.